Le commentaire ci-dessous est un exemple parfait de la pensée étriquée et de la rhétorique fallacieuse qui caractérisent l’extrêmes gauche dont l’argumentation est pleine de trous et ne repose que sur des mensonges et des distorsions.
Premièrement, l'idée que les "Français de souche" n'existent pas est une absurdité. Bien sûr que les français ont été influencés par diverses cultures au cours de leur histoire, y compris l'invasion romaine, mais cela ne signifie pas qu’ils doivent abandonner leur identité nationale. La France a une culture, une langue et des traditions uniques qui définissent ces français en tant que nation et il n'y a rien de mal à vouloir préserver et protéger cet héritage unique.
Ensuite, l'accusation de racisme est tout simplement grotesque. Le problème n’est pas avec la couleur de peau, les origines raciales, ethniques ou religieuse. Le problème, c'est la barrière des cultures, laquelle est bien plus insurmontable car elle englobe un ensemble plus vaste de différences, allant des modes de vie aux valeurs sociétales, en passant par les pratiques quotidiennes.
Même si les cultures sont souvent fondées sur des critères ethno-religieux, elles s'étendent bien au-delà, incorporant des éléments historiques, linguistiques, et traditionnels qui façonnent profondément l'identité des peuples et accessoirement leur dangerosité.
Les différences culturelles touchent des aspects fondamentaux de la vie et de l'identité des individus, rendant l'adaptation et l'acceptation plus complexes. Ainsi, la barrière des cultures peut créer des incompréhensions et des haines dix fois plus profondes et persistantes entre les peuples que les divergences raciales, ethniques ou religieuses.
Contrairement à ce que veulent le faire croire certains petits bouffons ralliés aux forces obscures de l’internationalisme, notre société est une société équilibrée, basée sur le mérite, où les individus sont jugés sur leurs compétences et leur caractère, pas sur la couleur de leur peau, les origines ou la religion. Le racisme nous vient d’ailleurs.